16-12-2014
Procès-verbal du Conseil municipal du 16 décembre 2014
Début de la séance : 20 h 00
Présents : Outre Monsieur le Maire, Philippe CACHENAUT, André DUBOIS, Bernadette DUNAT, Valérie FERNANDEZ, Jean-Michel HARGOUS, Gisèle HARISTOY MANUELLO, Quentin HUGHES, Jean-Pierre LAGOURGUE, Paul MENDIBURU, Katti RECALDE (arrivée en retard annoncée), Médéric SAINT MARTIN, Diane ST ESTEBEN
Absent excusé n’ayant pas donné procuration : Cyprien AMORENA
Secrétaire : Gisèle HARISTOY MANUELLO
Procès-verbal de la réunion du 24 novembre 2014 : adopté à l’unanimité des membres
Intervention de Monsieur ÇALDUBEHERE Laurent de l’association ACTIOM, courtier en assurances de personnes.
Cette association a été créée pour proposer des alternatives à la dégradation du pouvoir d’achat de ses adhérents, c’est une aide à la complémentaire santé pour les bas revenus.
2 jours de permanence sont à retenir, les 23 décembre et 07 janvier.
Après discussion, l’accréditation a été adoptée par : (il n’y a pas d’autre engagement de la commune)
11 POUR
2 ABSTENTIONS
0 CONTRE
1) choix des banques pour le prêt relais TVA pour la salle multi-activités
Comme prévu au budget, un prêt relais TVA doit être contracté avec
Le Maire rappelle à l’assemblée qu’un prêt relais TVA avait été prévu au budget afin de financer
Monsieur le Maire précise que la commune a payé 20 % de TVA et que dans 2 ans, la commune va récupérer 15,761 % de TVA via le FCTVA, le Fonds de Compensation de
Ce FCTVA permettra de rembourser les 99 000 € du prêt relais TVA.
2 banques ont remis une proposition,
La proposition de
· montant : 99 000 €
· taux fixe : 1,49 %
· durée : 24 mois
· échéance unique
· amortissement : IN FINE
· frais de dossier : néant
· commission d’engagement : 150 €
Votée à l’unanimité
QUESTIONS DIVERSES
C dossier TAFTA Transatlantique Free Trade Area
Monsieur le Maire fait part que le 14 juin 2013,
En effet, cet accord vise à instaurer la libre circulation des marchandises, des capitaux, des services et des personnes entre l'Union européenne et les États-Unis, allant au-delà des accords de l'OMC (Organisation Mondiale du Commerce). Négocié dans le plus grand secret, sans la consultation des citoyens et des élus, il a ainsi pour ambition de démanteler les droits de douane restants et de supprimer des “barrières non tarifaires”. Il prévoit en effet que les législations en vigueur des deux côtés de l'Atlantique soient « harmonisées» pour faciliter le libre- échange. Or les Etats-Unis sont aujourd'hui en dehors des principaux cadres du droit international en matière écologique, sociale et culturelle. Par exemple, ils refusent d'appliquer les principales conventions sur le travail de l'OIT (Organisation Internationale du Travail), le protocole de Kyoto contre le réchauffement climatique, la convention pour la biodiversité, mais aussi les conventions de l'UNESCO sur la diversité culturelle. Leurs règlements sont donc dans la plupart des cas moins protecteurs que ceux de l'Europe.
Ce marché commun libéralisé avec les Etats-Unis risquerait donc de tirer toute l'Europe vers le bas et inciter au pire productivisme. La controverse majeure porte sur le mécanisme de règlement des différends Investisseur-État (ISDS). Un tel accord permettrait à une multinationale d’attaquer en justice un état contre une norme sociale, sanitaire ou environnementale si cette norme porte atteinte à sa capacité d’investissement. Les investisseurs privés pourraient ainsi contourner les lois et les décisions qui les gêneraient puisque l'accord prévoirait que les entreprises puissent contester en justice des décisions prises par les Etats et réclamer des dommages et intérêts. Dans ce cas, demain, des multinationales pourraient donc par exemple forcer le gouvernement français à signer des permis d'exploitation de gaz de schiste ou autres hydrocarbures dits non conventionnels, à accepter la culture d'OGM en plein champ,... Outre la menace politique et démocratique qu'elle induit, une telle architecture juridique limiterait les capacités déjà faibles des États et des
Le Conseil Municipal à l’unanimité, après en avoir délibéré à l’unanimité,
³ DEMANDE un moratoire sur les négociations sur le Partenariat Transatlantique de commerce et d'investissement et la diffusion publique immédiate des éléments de la négociation ;
³ DEMANDE l’ouverture d’un débat sur ce partenariat impliquant la pleine participation des collectivités locales et des Populations ;
³ REFUSE toute tentative d'affaiblir le cadre réglementaire national ou européen en matière d'environnement, de santé, de protection des travailleurs et des consommateurs ;
³ DEMANDE de déclarer
³ AUTORISE Monsieur le Maire à signer tout acte en ce sens et à prendre toute initiative destinée à consolider cette position
C « Baserriko arte sarea »
Cette association de Hélette demande une promesse de subvention pour le projet
Artistico-culturel, sur les lavoirs de la communauté de communes, qui pourra se réaliser avec la participation des écoles du territoire.
Monsieur le Maire précise que l’objectif de ce projet intercommunal est de mettre en lumière le petit patrimoine de nos communes et par le côté création artistique de transmettre son histoire aux plus jeunes.
Accord de principe, à l’unanimité pour inscrire une subvention de 500 € sur le budget 2015.
C salle multi-activités
Discussion sur
· les conditions et prix de location (règlement à mettre en place)
· le nom
Date retenue pour les vœux et inauguration : dimanche 25 janvier au matin.
C mur à gauche de Gréciette bas
mise en place d’une commission consultative pour sa rénovation en tenant compte :
- de la sécurité des enfants
- de la route
- des contraintes (passage des brebis)
Première réunion prévue le 29 décembre à l’Ikastola à 20 h 30
C Garroa
1/ demande de EHLB et BLE pour composter le fumier sur les terres de Garroa
2/ pâturage par des brebis et shetlands de Mme Messines autour des pommiers de Garroa.
C site internet
Paul continuera à alimenter le site de la commune
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Fin de séance à 22 h 30